February 14, 2014 at 5:24am
La pyramide bosniaque du soleil est la plus grande et plus ancienne des pyramides de cette vallée, à ce jour.
Elle se trouve à proximité de la ville de Visoko. Elle aurait été entièrement terraformée avant d’être recouverte, en trois niveaux légèrement décalés, d’une sorte de« béton » composé de galets des rivières avoisinantes mêlés à de l’argile très fine et à du quartz, aux propriétés piézo-électriques.
La qualité des matériaux utilisés pour sa construction semble surpasser ceux d’aujourd’hui, selon une étude faite en 2011, par l'Institut SCHMID® de l'Académie de Russie.
Plusieurs phénomènes électriques et électromagnétiques ont été détectés sur la pyramide, notamment un faisceau énergétique qui semble traverser la pyramide de sa base au sommet et s’élever au-delà, à la verticale de l’apex.
En 2011, deux géophysiciens de renommée internationale seraient venus faire des tests sur les pyramides de Bosnie. Il semble que ce soient les professeurs Oleg Kavroskin et Vladislav Ciplakov, tous deux membres de l'Institut SCHMID® de l'Académie de Russie.
En leur temps, ils avaient mené un projet soviétique sur la conquête de la planète Mars. Ce sont des experts dans les études sismiques.
Semir Osmanagich les avait rencontrés, quatre ans auparavant, lors de sa conférence au Caire. Ils faisaient à cette époque des tests sur les pyramides égyptiennes.
Ils ont placé leurs instruments de mesures sismiques sur les quatre côtés des pyramides puis ont déclenché leur système et surveillé les fréquences. Ils ont ensuite comparé les résultats avec ceux de collines naturelles. Bien sûr les fréquences sont différentes, selon que ce soient des structures artificielles ou des proéminences naturelles.
Armés des résultats effectués sur les pyramides de Khéops, de Khephren et de Mykérinos, sur la pyramide de Bent, la pyramide Rouge, celles de Meidum et celle de Dashuru, etc. ils sont venus à Visoko pour vérifier la nature exacte de la pyramide bosniaque du soleil et ont travaillé avec acharnement, répétant les tests durant deux saisons. Ils sont ensuite retournés à Moscou où ils ont analysé leurs résultats.
Leurs conclusions furent les suivantes : « Les résultats des pyramides bosniaques sont identiques à ceux des pyramides égyptiennes ». En d’autres termes, ces pyramides sont des structures artificielles.
Ils ont aussi scanné le sommet de la pyramide du soleil et en ont conclu qu’il pouvait y avoir des passages à l’intérieur de celle-ci, des tunnels.
Au moment de sa découverte en 2005, Semir Osmanagich avait estimé l’âge de la pyramide bosniaque du soleil aux alentours des - 12.000 ans BP, d’après une première datation au radiocarbone de la terre recouvrant le sol au sommet.
Une seconde mesure de l’âge de la pyramide fut faite ensuite en 2006, par un laboratoire de Bosnie-Herzégovine(3), puis une troisième mesure aurait suivi en 2011, dans un laboratoire de Pologne(4). Les deux dernières mesures ont donné - 10.000 ans BP comme date possible de l’âge de la pyramide.
Une annonce, faite le 2 octobre 2012, modifie encore ces évaluations : les archéologues italiens, Ricardo Brettet Nicolo Bisconti, découvrent en août du matériel organique (feuille fossilisée) coincé entre deux couches de blocs de ce béton d’argile aux propriétés surprenantes et au sommet de blocs de grès couvrant la pyramide bosniaque du soleil. La datation au radiocarbone, effectuée dans un laboratoire à Kiev, en Ukraine, donne le 18 août les résultats suivants: - 24.800 ans BP(5) + ou – 200 ans, ce qui reculerait l’âge minimum de la structure de plus de 14.800 ans !
3. et 4. Je n’ai pu avoir accès aux résultats de ces analyses au radiocarbone.
5. BP = Before Present : Avant aujourd’hui.
De la nature du revêtement supérieur de la pyramide du soleil
Les résultats de forages carottés sur plusieurs endroits de la pyramide, en août et octobre 2005, puis en 2006 et 2007, ont révélé que la surface de la pyramide est constituée de grès, en couches successives. L’ensemble ayant été traité manuellement et/ou coupé pour être adapter aux dimensions requises. L'agent de liaison, « le liant »(selon la terminologie professionnelle du Bâtiment), trouvé entre les blocs de grès, suggère la présence d'un conglomérat multicolore composé de graviers, de grès et de schiste, avec une matrice de ciment composée pour sa part de particules de carbone, de sable, de quartz, de feldspath et de flocons de mica. L’équipe d’Osmanagich pense que le béton était conçu à partir de minéraux issus d’un dépôt rocheux local postglaciaire.
Les côtés plats des blocs (la zone de contact) et l'agent de liaison sont clairement visibles. Un nettoyage plus en détail de la ligne de contact entre les deux blocs de grès a révélé que ceux-ci furent possiblement traités manuellement : la surface est plane et lisse. Un agent liant les deux blocs a sans doute été appliqué à la surface pour l’assemblage lors de la construction.
Des études menées à Paris (France), à l’Institut Géopolymère Français®, ont révélé que le béton trouvé sur la pyramide bosniaque du soleil était cinq fois plus solide que les bétons actuels. Ce béton a montré sa résistance exceptionnelle à une pression de 94Mégapascal (MPa) soit la résistance extrême de 940 Bars (à peu près 940 Kg/cm2 … à 2% près !!), ce qui signifie qu’il est hautement compressé et incroyablement rigide.
Des bétons de cette qualité ne sont disponibles que dans les pays les plus développés du globe et utilisés uniquement pour des exigences particulières pour ne pas dire spéciales.
Le docteur Joseph Davidovits, fondateur de l’Institut Géopolymère Français®, a procédé ensuite à l’analyse d’un échantillon au microscope électronique.
Il en a déduit la composition chimique du béton antique : un ciment géopolymère à base notamment de calcium et de potassium. Aux tests suivants ce ciment s’est avéré cinq fois plus solide et cinq fois plus résistant à l’eau que tout autre ciment produit de nos jours.
L’avis de Joseph Davidovits est à prendre en considération car il est à l’origine de plus de 50 brevets dans le domaine de la physique des matériaux. Il est considéré comme un expert dans sa discipline et son sérieux n’est pas à mettre en doute car il est décoré de l’Ordre National du Mérite. De plus, il a publié une dizaine d’ouvrages concernant la construction des pyramides d’Égypte qui font autorité.
L’Université Polytechnique de Turin (Politecnico di Torino), institut italien renommé dans le domaine du génie chimique, du génie civil, et de la recherche en architecture, a également procédé, en toute indépendance et dans ses laboratoires, à des analyses liées à la chimie des matériaux.
Les observations ont été effectuées à partir de deux prélèvements d’échantillons pris au pied de la face Nord de la pyramide du soleil. Le premier échantillon provenait du revêtement de surface tandis que le second était issu d’un bloc du conglomérat rocheux.
L’étude a permis de conclure que les deux fragments sont constitués de matériaux anciens et fabriqués artificiellement.
Les échantillons du revêtement de grès, recueillis à la surface, ont la même composition que le béton de la pyramide du soleil qu’ils recouvrent. La seule différence réside dans la finesse relative du grain des matériaux inertes utilisés pour la fabrication.
Les minéraux constituant le liant du béton, y compris pour la couche superficielle de grès,sont issus de la cuisson à haute température de kaolinite et de muscovite (argiles) et de dolomite et de calcite (calcaires). Il s’agit d’un procédé chimique classique permettant de produire un mortier semblable au béton. Le département de chimie de l’université a même confirmé une similitude de constitution du mortier ayant servi de liant aux matériaux inertes locaux avec « l’opus cimenticium »(ciment romain antique traditionnel).
L’Institut des Structures et Matériaux de l’Université de Sarajevo avait déjà confirmé le caractère artificiel du béton en 2008 mais d’autres institutions indépendantes, commel’Institut Kemal Kapetanovic de l’Université de Zenica, ont également confirmé l’utilisation de matériaux de constructions artificiels ou manufacturés pour la construction des pyramides bosniaques.
Comme si cela ne suffisait pas, récemment,il a été découvert au sommet de la pyramide un signal électromagnétique vertical,issu apparemment des profondeurs de la pyramide et calé sur la fréquence étonnante de +/- 28kHz.
Cette première anomalie est accompagnée d’une seconde : cette fréquence semble insérée dans un cylindre vertical invisible de 4,30m (13 pieds)de rayon (en dehors de cet espace la fréquence n’est plus captée, ce qui constitue là aussi une singularité actuellement inexpliquée).
Ces résultats ont été ensuite confirmés, indépendamment de la première équipe, par les scientifiques suivants:
Le Dr. Slobodan Mizdrak, venu de Croatie, accompagné du professeur Paolo Debertolis, anthropologiste de l’Universita di Trieste en Italie, de l’ingénieur du son, Heikki Savolainnen, venu lui de Finlande, ainsi que de l’ingénieur en électricité, Goran Marjanovioc, venu lui de Serbie toute proche.
Pour ma part, c’est le 4 août2013 que j’ai effectué plusieurs expériences pour conforter ces découvertes etsi possible les affiner :
- Tests de radioactivité ambiante avec le compteur Geiger RADEX QUATRA RD1503.
- Recherche de l’onde électromagnétique émise parla pyramide et décrite par Debertolis sur la fréquence +/- 28kHZ avec le détecteur d’ondes électromagnétiques GIGAHERTZ SOLUTIONS ME3951A.
- Recherche de l’onde ultrason sur la fréquence +/-28kHzavec le Magenta BAT 5.0
- Études de champ électromagnétique d’origine artificielle avec le radiomètre PCE G28.
- Analyse de la fréquence ultrason +/- 28kHz, une fois enregistrée, en utilisant des techniques utilisées notamment par un organisme américain de recherche sur l’éventualité de la vie dans l’Espace, le S.E.T.I(6) pour distinguer la signature d’une fréquence porteuse d’une possibilité d’artificialité de celle porteuse d’une fréquence de type naturelle.
6. Recherches scientifiques sur l’existence d’une intelligence extraterrestre (Search for Extra-Terrestrial Intelligence, alias SETI).
Les résultats furent mitigés :
A la recherche de l’onde électromagnétique +/- 28kHZ, pensant que celle-ci pouvait être d’origine électrique, j’ai testé le sol et les murs du sommet de la pyramide du soleil avec le G28, mais hélas aucun signal n’a pu être enregistré, même en utilisant les vestiges métalliques laissés là après la guerre. Cela ne signifie pas que l’onde n’existe pas mais que l’appareil n’était peut être pas adapté à la détection de celle-ci.
Le détecteur d’ondes électromagnétiques ME3951A, lui, a bien enregistré quelque chose mais les mesures sont à refaire car il a été perturbé par des parasites.
Par contre, utilisant le BAT 5.0, j’ai très nettement détecté une onde ultrason évoluant dans la bande des 10kHz– 40kHz avec un point haut nettement situé à +/- 27,4 kHz, c’est-à-dire à quelques dixièmes de kilohertz de la fréquence électromagnétique découverte précédemment, ce qui est extrêmement encourageant.
Deux ondes, de natures différentes,se côtoyant au même endroit (au sommet de la pyramide) et calée visiblement sur une fréquence très proche - pour ne pas dire quasiment la même - constitue pour moi, à coup sûr, une anomalie constatée.
Enregistrée en plusieurs séquences, dont une durant 37 secondes, l’enregistrement a pu finalement être traité de manière appropriée (hétérodyne dans un premier temps puis expansion du temps, pour une meilleure lecture spectrale et écoute sonore). Elle fut ensuite débarrassée des harmoniques et des autres bruits parasites, d’ordre naturel.
Cette onde ultrason donna alors un schéma des plus surprenants, faisant apparaître très clairement une répétition séquencée de sons avec notamment, en toile de fond, un son rappelant étrangement un battement de cœur.
Pour terminer, sur la pyramide bosniaque du soleil, bien que les georadars ne soient pas d’une fiabilité garantie sur le terrain (pour ce genre de travail le sol doit être d’abord préparé, exempts de débris métalliques, terrassé, parfaitement plane pour une utilisation optimale de l’engin, selon ce que m’a dit Hervé Michel, chasseur de trésors et vendeur de ce type de matériel de détection, lui-même utilisant le GEOHUNTER®) des essais ont été entrepris par Vincenzo Di Gregorio, utilisant son propre engin mais pour le compte d’une entreprise, la société SBRG®, avec laquelle, semble-t-il, il se dispute depuis la découverte éventuelle de canaux souterrains possiblement découverts dans les tunnels de RAVNE.
Il aurait également effectué des tests identiques sur la pyramide bosniaque du soleil mais sa soi-disant découverte des-pseudo pyramides de Montevecchia m’empêche d’accepter ses travaux avec sérénité. J’envisage donc, si la providence se penche sur moi, de faire un nouveau sondage georadar sur la pyramide et dans les tunnels RAVNE, pour le peu que le sol s’y prête évidemment (notamment au sommet de la pyramide qui était un point d’observation durant la guerre et où doit subsister nombre de vestiges métalliques du type balles ou obus).
Tout dernier élément, dont je n’ai malheureusement pas l’ensemble les données : une recherche d’anomalies au sol aurait été entreprise, il y a quelques temps, par georadar également, sur les flancs de la pyramide bosniaque du soleil, et plus particulièrement la partie basse. Je vous fourni donc cette information sans aucune garantie car je l’ai récupérée sur Internet, j’y mets donc les plus grandes réserves.
Il y aurait au pied de la pyramide du soleil quatre anomalies géologiques possibles.
L’anomalie 1 aurait probablement été causée par des glissements de terrain,visibles notamment à Novo Brdo. L’anomalie 2 serait un possible glissement de terrain, mais il n'est pas visible sur la surface. En fait, il aurait uniquement été « georadarisé ».
L’anomalie 3 couvre une surface carrée d'environ 15m de côté sur l'accès au plateau, du côté Ouest des ruines du château. L'origine de cette anomalie est encore aujourd’hui inconnue. L’anomalie 4 est une possible cavité sur le côté Nord de la pyramide du soleil et aurait déjà été détectée en mesurant la tension électrique du sol.
Il y aurait aussi beaucoup de petites anomalies supplémentaires mais seules les plus grandes sont ici révélées.
(Extrait du livre "Pyramide de Bosnie - Recherches au delà du mystère" Terres d'aventures éditions ©2013 Toute copie sans autorisation écrite de l'auteur est un piratage et une contrefaçon puni par La loi et fera l'objet de poursuites judiciaires).
February 16, 2014 at 7:20am
D'une hauteur de 190m, selon les documents fournis par le cadastre de Visoko (là aussi une mesure métrique devrait être faite pour avoir sa hauteur de manière certaine), cette colline est également terraformée en pyramide mais curieusement bâtie sous la forme d’une sorte de construction en spirale avec des niveaux qui se superposent.
Ce design en terrasse est unique dans l’architecture des pyramides du côté Est de notre planète, à ma connaissance toutefois …
Pour la construction de cette pyramide, il semble que des plaques de grès et des « tuiles » d’argile furent utilisées. Les travaux archéologiques sur la pyramide bosniaque de la lune semblent dégager une énorme structure pyramidale à trois faces, « mitoyenne » avec une chaussée pavée venant de l'Est.
Sous les couches de terre et de bois excavées il existerait, semble-t-il, une sorte de « pierre d'argile ». N’ayant eu le temps de visiter cette pyramide, pour cause de doutes sur le bon chemin (l’un des deux étant encore miné) elle fait partie des explorations prioritaires du mois d’avril 2014 car il semblerait, de prime abord, que cette pyramide ait des similitudes avec d’autres pyramides, beaucoup plus modestes et beaucoup plus à l’Ouest en Europe,existantes dans la région de Camas, en Andalousie, dans le sud de l’Espagne.
Je suis intrigué par les pavements exhumés (et notamment le sol et ses dallages) qui semblent avoir été dégagés sur une grande longueur de cette pyramide.
Ils correspondent assez similairement, bien que plus grossiers, à l'assemblage cyclopéen que l'on retrouve sur de nombreux vestiges inexpliqués dans monde et sur les plus anciens édifices de l'Histoire.
Parmi les travaux prévus, j’irai mesurer l’ensemble des vestiges exhumés, les photographier, et je tenterai devoir si cette pyramide ne présente pas, elle aussi, d’émissions d’ondes électromagnétiques et ultrasons.
Les photos originales fournies par le « Parc archéologique : pyramide bosniaque du soleil » et Semir Osmanagich, concernant cette pyramide, me laissent plus que perplexe.
Fort de mon expérience, en ce qui concerne les techniques de construction d’édifices antédiluviens, surtout après avoir étudié et examiné pratiquement tous les vestiges exhumés ces cent dernières années sur la planète (cf.« Civilisations antédiluviennes » ABM éditions 2007 / Pascal Galodé Editeurs 2012/2013), et malgré mon pragmatisme, ma rationalité et mon cartésianisme prudent, j'aurais tendance à accréditer tout de même le fait que ces pavements puissent être l’œuvre d'une ancienne civilisation.
Leur taille et leur poids, pour certains non équarris, leur assemblage ordonné pour obtenir un cheminement harmonieux, laisse penser fortement à un bâti réfléchi et non à des fractures naturelles de roches, comme le pense peut être un peu hâtivement certains « géologues »dont je tairais le nom.
Certes je n’ai pas encore vu de mes yeux ces vestiges mais leur visite, en Avril prochain, si elle me permettra de poser un jugement définitif plus sûr, ne devrait pas pour autant me faire changer d’avis sur le plan général.
La pyramide de la lune est, comme les deux autres pyramides, composée de blocs de grès mêlés à des couches d’argile d'une pureté étonnante. Je compte bien sûr faire des prélèvements, lors de l’exploration au printemps prochain, et tenter ensuite de reproduire ce béton d'argile si particulier avec une société spécialisée dans la fabrication du béton pour tester sa résistance et sa conductibilité électrique. Je me prépare d’ailleurs à contacter des sociétés comme LAFARGE®.
Il faut savoir que l’argile est un excellent matériau de construction. Elle sert de liant, est imperméable, et est un très bon isolant thermal et sonore. Quant au grès, il est très utilisé dans la construction pour ses propriétés naturelles (bonne résistance au gel et facile à travailler).
Des résidus organiques ont été découverts entre deux couches, dans la tranchée archéologique nº 20 (j'ai demandé un prélèvement à Semir Osmanagich et je compte en faire un, sur le même lieu, lors de mon second voyage),sur la face triangulaire Ouest de la pyramide. Les analyses au radiocarbone faites par le Département de Physique de l’Institut Silésien en Technologie, en 2011, confirment bien que l’âge du matériau organique retrouvé dans la couche inférieure du béton d’argile serait d'environ 10.350 ans BP, à plus ou moins 50 ans de tolérance.
Cette datation tenterait à prouver scientifiquement l’âge exceptionnel de cette pyramide terraformée : elle serait plus ancienne que les ziggourats de Sumer !
Sous la base de la pyramide de la lune a été détectée une accumulation d’eau qui semble connectée aux divers lacs souterrains similaires à ceux qui se trouvent en dessous des pyramides du soleil et du dragon, et qui pourrait être en connexion avec le réseau d’eaux et les résurgences souterraines des tunnels de RAVNE.
(Extrait du livre "Pyramide de Bosnie - recherches au delà du mystère" de Dominique JONGBLOED - Terres d'Aventures éditions ©2013 - Toute reproduction sans l'accord écrit de l'auteur ou de son éditeur est un acte de piratage et une contrefaçon punit par la Loi. Des poursuites judiciaires contre les contrevenants seront engagées).